Aujourd'hui, les radars automatique mobiles, même ceux embarqués dans d'autres types de véhicules qui ont un flash intégré au hayon, ne l'utilisent plus en journée quand la luminosité est suffisante.
Les conducteurs se font verbaliser à leur insue en ne l'apprenant qu'une fois le PV reçu par courrier 5 à 7 jours plus tard.
Cette nouvelle méthode est possible car la présence de l'identité façiale du conducteur sur un cliché importe peu, seul la lecture de la plaque minéralogique est néçéssaire pour établir un PV avec le système de sanction automatique
CSA.
Avec des voitures presque sans signes distinctifs et un flash qui n'est plus utilisé, il devient vraiment très difficile de repérer les radars mobiles au bord des routes.
De plus, les différentes unités de police ou de gendarmerie d'un département peuvent s'échanger les voitures-radar afin de rompre l'accoutumance de pouvoir croiser un type de véhicule ou couleur de celui-çi dans le même secteur du département concerné.
Il faut noter également que ces radars embarqués ne sont pas forçément immatriculés dans leur département d'affectation; tout ceci dans un but évident de discrétion.
Egalement, certaines de ces voitures qui sont affectées aux unités mobiles zonales des CRS, peuvent voir leur champ d'action porté à plusieurs départements de celui de leur affectation, voir à une région donnée.
Enfin, et suite à certains accidents générés en début d'année par des radars mobiles, certains des derniers véhicules livrés ont la particularité d'avoir leur matériel radar et caméra numérique totalement extractible afin de pouvoir sécuriser le véhicule porteur sur des contrôles autoroutiers où l'arrêt prolongé sur la bande d'arrêt d'urgence (BAU) est théoriquement interdit.
Ce système démontable avec l'ajout d'un sîtomètre permet aussi des contrôles en surplomb de l'axe choisi à partir d'un pont.